Je m’appelle Olivier et c’est ma femme, et Maîtresse, Isabelle qui m’a demandé de vous écrire pour vous faire état de ce que je suis devenu, un cocu soumis.
Notre vie sexuelle, après 14 ans de mariage était plutôt conventionnelle voire ennuyeuse surtout au lit, nos rapports étaient plus que rapide et peu inventifs.
Pourtant, j’avais pas mal de fantasmes inassouvis. Ce soir de novembre, je ne pensais pas que réaliser certains de ceux-ci allaient bouleverser ma vie.
De retour d’une soirée vers une heure du matin, alors que je me couchais, Isabelle, ma femme me dit qu’elle n’avait pas sommeil et qu’elle souhaitait ressortir. Elle me proposa même de réaliser un de mes fantasmes (nous en avions déjà parlé ensemble) en draguant un mec et en me racontant à son retour. Je lui ai donné mon accord avec un frisson dans le dos et elle est allée se rafraîchir dans la salle de bain. A son retour dans la chambre elle s’est changée et a mis ce qu’elle avait de plus sexy (guêpière noire et rouge transparente, bas noirs, string assortis, petit top et jupe très courte).
Vers 1h30 elle est sortie de la maison, puis est immédiatement rentrée et face à moi a retiré sa culotte en me disant qu’elle n’en avait pas besoin. La je compris qu’elle irait sans doute plus loin que je pensait mais il était trop tard la porte se referma sur mon angoisse et un début d’érection incontrôlée.
L’attente fut très longue et terriblement excitante. Vers 6 heures elle m’appela de son portable, sans parler. Je l’entendais gémir et encourager celui qui était en train de la baiser. Je ne pouvais qu’écouter cela dura une bonne heure et je me mis à me masturber; la frustration ajoutait à l’excitation de la situation.
Finalement elle est rentrée à 8 heures du matin, l’air ravie, épanouie et heureuse. Elle s’approcha de moi, allongé sur notre lit, souleva sa jupe et posa sa chatte trempée sur mon visage en disant :
– Lèche petite bite ! C’est le sperme de mon amant qui dégouline ! Il avait une bite énorme, comparé à ton ridicule petit bout de peau molle ! Tu aimes minable ? Profites-en car c’est tout ce dont tu as droit pour l’instant !
En effet mon sexe ne fait que 12 centimètres en érection. Je n’y croyais pas, mon fantasme de cocu soumis se réalisait enfin. Et de quelle manière !
Après l’avoir nettoyé avec ma langue le sexe bandé au maximum, je lui demandai de me raconter.
Elle m’expliqua que l’amant qu’elle avait pendant la nuit, l’avait pénétrée recto verso et avait jouis dans sa bouche, chose qu’elle m’a toujours refusé, tout comme la sodomie d’ailleurs. J’étais frustré et excité comme un fou.
Pour compléter mon « bonheur », elle refusa de faire l’amour avec moi et m’interdit de me masturber. Je devais rester ainsi frustré jusqu’à ce qu’elle m’autorise à me caresser.
J’ai dû attendre ainsi le soir pour pouvoir jouir de ses aventures qu’elle prit un malin plaisir à me raconter de nouveau.
Nous n’en reparlâmes plus de la semaine. Ce n’est que le Samedi suivant qu’elle me dit dans l’après-midi :
– Ce soir, je mets les enfants chez ma mère, je te prépare une surprise.
Craignant le pire, mais étant très excité, je lui donnai mon accord.
Après le dîner, elle alla se préparer, et se para des ses plus beaux dessous sexy ; une guêpière transparente rose seins nus et des bas noirs et encore une fois pas de culotte. Par-dessus, elle mit un caraco noir très sexy, laissant deviner la pointe de ses seins, et un mini kilt, qui permettait, lorsqu’elle se penchait un peu de voir le haut de ses bas et surtout l’absence de toute culotte et une partie de son importante toison. Mais je n’étais pas au bout de mes surprises. Lorsqu’elle fut prête, elle m’ordonna de m’allonger nu sur le lit de la chambre d’amis et m’attacha à celui-ci avec des bas, bras et jambes écartées. Puis elle m’enjamba et frotta son sexe sur mon visage en me disant :
– C’est tout ce dont tu as droit, petite bite, le reste sera pour mes camarades de jeux de la soirée !
Puis elle m’abandonna là, impuissant, avec mon érection, ne pouvant rien faire d’autre qu’attendre.
L’attente fut longue, car partie vers 22h30, elle revint un peu après 3 heures du matin, et au bruit, je compris vite qu’elle n’était pas seule ! Elle avait ramené un homme à la maison ! Très vite ils sont passé dans notre chambre, et je ne pu qu’imaginer ce qui se passait en écoutant, j’étais, attaché sur un lit, je ne pouvais rien voir. J’avais en fin compris pourquoi elle avait laissé la porte de la chambre d’amis entrouverte. Ainsi, je l’ai entendu crier de plaisir pendant plus de deux heures. Tout y est passé, et elle prenait un malin plaisir à commenter bruyamment les exploits de son amant d’un soir. Elle le suça, il la lécha, puis la pénétra longuement recto verso, avant finalement de se vider une fois dans sa chatte et une fois dans son cul. Elle criait de plaisir comme jamais auparavant.
Lorsque sa conquête fut partie, elle vint dans la chambre d’amis, et une nouvelle fois enjamba mon visage en me disant :
– Alors sous-homme, t’as aimé, parce que moi j’ai adoré ! Ce soir, c’est deux mecs qui m’ont baisé comme une putain, et ils ont éjaculé dans ma chatte et mon cul et un que j’ai sucé jusqu’à la dernière goutte ! Maintenant à ton tour, nettoie bien mes deux trous et applique-toi à me faire jouir si tu veux que je t’autorise à te branler !
C’est donc avec application que je léchais ses deux trous. Le sperme de ces inconnus me coulait dans la bouche, dégoûté et heureux,mais je n’avais pas le choix, je devais lécher et avaler ses semences de vrais hommes.
Finalement, c’est elle qui décida de me branler. A peine avait elle pris ma petite queue en main que je jouissais tant mon excitation était grande.
– Eh ben mon salaud, dit-elle, on peut dire que ça t’excite ! Lèche mes doigts que tu as osé souiller avec ton sperme ridicule !
Depuis ces deux soirs, elle a eu d’autres amants, dont un régulier maintenant et que je dois sucer avant et après qu’il la prenne. Pendant qu’ils s’amusent ensemble, je dois retourner dans la chambre d’amis et attendre que l’on m’appelle. Je n’ai plus jamais eut de rapports avec Isabelle, qui se refuse systématiquement à moi pour ce réserver pour des grosses bites qui entretien ma frustration avec un plaisir sadique !
Je suis aujourd’hui un cocu soumis et heureux.